ʼAlīqnā‘ Līṭālīb ʼAlīntfā‘ (La persuasion pour le demandant du bénéfice), (5ème copie), (partie 1)

DESCRIPTION DU MANUSCRIT

ʼAlīqnā‘ Līṭālīb ʼAlīntfā‘ (La persuasion pour le demandant du bénéfice), (5ème copie), (partie 1), est un manuscrit classifié parmi les ouvrage du Fiqh Hanbalite pour son auteur ʼAḥmād ibn Mūsā Ālḥjāūī, décédé en 968 de l’Hégire. Ce manuscrit a été transcrit en style calligraphique cursif, Naskh, au dixième siècle de l’Hégire. Le nombre de ses pages est 157 et ses lignes sont 27, taille 16X26.5 cm. C’est une copie très précieuse qui a été lu, sur son auteur, par le cheikh Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm Ibn Ābī Ḥūmīdān et sur lequel se trouvent des propriétés locales importantes prouvées par le texte suivant et qui a été transmis de la première feuille. Ābdīlmūḥsīn Ibn Ābdīlrāḥmān Ābī Ḥūsīn a écrit, par sa propre écriture, qu’il a vendu cette copie à Mūḥāmād Ibn Ālī Ibn Ālshīkh en 1248 de l’Hégire. Cette vente a été témoignée par Ābdīl Āzīz Ibn ‘Ūthmān et Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm Ibn ‘Jlān. Mūḥāmād Ibn Ālī Āl Ālshīkh a possédé ce manuscrit en 1248 de l’Hégire, et après sa mort, ses fils en ont hérité. Sachons que Ābdūlā Ibn Mūḥāmād et son frère Ābdīlrāḥmān ont vendu leur part de ce livre à leurs deux frères Ābdīl Āzīz et Ālī, en présence du témoignage de Ābdūllā Ālmūshīṭī et son fils Mūḥāmād, avec l’écriture du susmentionné, Ābdūlā Ibn Mūḥāmād. Et la bénédiction et le salut d’Allah soient sur le prophète Mohamed, sa famille et ses compagnons. Sur la couverture du livre, le cheikh Mūḥāmād Ibn Ālī, le fils du cheikh Mūḥāmād Ibn Ābdūlwāhāb a écrit : «Cette copie est l’une des copies les plus correctes, dont la couverture est marquée par plusieurs traces des propriétés des cheikhs vertueux, l’un après l’autre. Ce manuscrit a été courant pour nombreux jurisconsultes musulmans par la possession, la lecture, le faire de lire sur autrui. Les cheikhs Sūlāīmān Ibn Ālī, Mūḥāmād Ibn Īsmāīl Āljārāḥī, Ālqṣīr, Ibn Zāhlān, Ibn Sūlṭān, disciple du cheikh Slīmmān mentionné ci-dessus, et les jurisconsultes des Ābā Ḥūsīn en ont profité, mais je les ai trouvés sur le verso de la première feuille sur le point de disparaître. J’ai alors mis, sur elle, ces deux feuilles comme une sorte de consolidation pour le début du livre. J’ai aussi trouvé, sur le verso de la première feuille de cette copie, une écriture ambiguë qui m’a causé, avec l’observation, la difficulté de la lire et l’articuler littéralement. Que le lecteur sache que cette copie est celle que le cheikh Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm Ālnājdī, puis Āldīmāshqī connu comme Ibn Ābī Ḥūmīdān ont lu sur son auteur d’une façon attentive, précise et consciente en l’an 977. Cela a été mentionné par le pauvre à Allah, exalté soit-il, qui écrit ces lignes Mūḥāmād Ibn Īsmāīl Āljārāḥī. C’est terminé ce que j’ai trouvé écrit par la main de Ibn Īsmāīl sans augmenter ni diminuer. Ecrit par le pauvre à Allah, exalté soit-il, Mūḥāmād Ibn Ālī Ibn Ālshīkh Mūḥāmād. La dernière feuille, celle qui porte le nom du copiste, est tombée. La copie a alors été complétée par Mūḥāmād Ibn Ālī Ibn Ālshīkh. En marge est noté plusieurs explications, nombreuses traces ????????? Il y a aussi des marques claires de l’emploi et des signes de l’humidité. L’écriture du manuscrit a été faite en encre noire et les parties distinguées en encre rouge. Le manuscrit commence par le début du livre jusqu’à la partie consacrée aux deux chapitres d’Ālsābq et d’Ālnāfāḍīlā.

Titre du manuscrit :

ʼAlīqnā‘ Līṭālīb ʼAlīntfā‘ (La persuasion pour le demandant du bénéfice), (5ème copie), (partie 1)

Thème du manuscrit:

Autre titre (Sous-titre):

-

Nom de l’auteur, Date de décès :

Début du manuscrit :

-

Fin du manuscrit :

-

Nom du copiste :

-

Date du copiage :

Remonte au 10ème siècle de l’Hégire

Lieu du copiage :

-

Style de calligraphie :

style calligraphique cursif, (Naskh)

Nombre des feuilles : Nombre des lignes : Taille: X cm

Nombre des feuilles: 157; Nombre des lignes: 27; Taille: 26.5 x 16 cm.

Langue

Numéro de réservation:

354 / avis jurisprudentiel.

N.B.:

C’est une copie très précieuse qui a été lu, sur son auteur, par le cheikh Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm Ibn Ābī Ḥūmīdān et sur lequel se trouvent des propriétés locales importantes prouvées par le texte suivant et qui a été transmis de la première feuille. Ābdīlmūḥsīn Ibn Ābdīlrāḥmān Ābī Ḥūsīn a écrit, par sa propre écriture, qu’il a vendu cette copie à Mūḥāmād Ibn Ālī Ibn Ālshīkh en 1248 de l’Hégire. Cette vente a été témoignée par Ābdīl Āzīz Ibn ‘Ūthmān et Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm Ibn ‘Jlān. Mūḥāmād Ibn Ālī Āl Ālshīkh a possédé ce manuscrit en 1248 de l’Hégire, et après sa mort, ses fils en ont hérité. Sachons que Ābdūlā Ibn Mūḥāmād et son frère Ābdīlrāḥmān ont vendu leur part de ce livre à leurs deux frères Ābdīl Āzīz et Ālī, en présence du témoignage de Ābdūlā Ālmūshīṭī et son fils Mūḥāmād, avec l’écriture du susmentionné, Ābdūlā Ibn Mūḥāmād. Et la bénédiction et le salut d’Allah soient sur le prophète Mohamed, sa famille et ses compagnons. Sur la couverture du livre, le cheikh Mūḥāmād Ibn Ālī, le fils du cheikh Mūḥāmād Ibn Ābdūlwāhāb a écrit : «Cette copie est l’une des copies les plus correctes, dont la couverture est marquée par plusieurs traces des propriétés des cheikhs vertueux, l’un après l’autre. Ce manuscrit a été courant pour nombreux jurisconsultes musulmans par la possession, la lecture, le faire de lire sur autrui. Les cheikhs Sūlāīmān Ibn Ālī, Mūḥāmād Ibn Īsmāīl Āljārāḥī, Ālqṣīr, Ibn Zāhlān, Ibn Sūlṭān, disciple du cheikh Slīmmān mentionné ci-dessus, et les jurisconsultes des Ābā Ḥūsīn en ont profité, mais je les ai trouvés sur le verso de la première feuille sur le point de disparaître. J’ai alors mis, sur elle, ces deux feuilles comme une sorte de consolidation pour le début du livre. J’ai aussi trouvé, sur le verso de la première feuille de cette copie, une écriture ambiguë qui m’a causé, avec l’observation, la difficulté de la lire et l’articuler littéralement. Que le lecteur sache que cette copie est celle que le cheikh Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm Ālnājdī, puis Āldīmāshqī connu comme Ibn Ābī Ḥūmīdān ont lu sur son auteur d’une façon attentive, précise et consciente en l’an 977. Cela a été mentionné par le pauvre à Allah, exalté soit-il, qui écrit ces lignes Mūḥāmād Ibn Īsmāīl Āljārāḥī. C’est terminé ce que j’ai trouvé écrit par la main de Ibn Īsmāīl sans augmenter ni diminuer. Ecrit par le pauvre à Allah, exalté soit-il, Mūḥāmād Ibn Ālī Ibn Ālshīkh Mūḥāmād. La dernière feuille, celle qui porte le nom du copiste, est tombée. La copie a alors été complétée par Mūḥāmād Ibn Ālī Ibn Ālshīkh. En marge est noté plusieurs explications, nombreuses traces ???????? Il y a aussi des marques claires de l’emploi et des signes de l’humidité. L’écriture du manuscrit a été faite en encre noire et les parties distinguées en encre rouge. Le manuscrit commence par le début du livre jusqu’ à la partie consacrée aux deux chapitres d’Ālsābq et d’Ālnāfāḍīlā.