Ālmūbdī‘ Shārḥ Ālmūqn‘ (4ème copie) (partie 2)

DESCRIPTION DU MANUSCRIT

Ālmūbdī‘ Shārḥ Ālmūqn‘ (Le créateur : explication du persuasif), (4ème copie) (partie 2), est un manuscrit classifié parmi les œuvres de la jurisprudence (Fiqh) Hanbalite, pour son auteur Ibn Mūflīḥ, Ībrāhīm Ibn Mūḥāmād Ibn ‘Ābdūllāh, décédé en 884 de l’Hégire. Ce manuscrit, dont le nombre des feuilles est 194, des lignes sont 34, et la taille est 19.5x28cm, a été transcrit en style calligraphique cursif, (Naskh), au 14ème siècle de l’Hégire. Le manuscrit commence par : «le livre du Djīhād (la lutte spirituelle ou religieuse). Le mot Djīhād ou Mūdjāhādā (lutte) est l’infinitif du verbe arabe Djāhd (lutter ou combattre). Le mot Mūdjāhīd (militant, combattant, lutteur, battant) est le participe présent du verbe arabe Ājhād (déployer ou faire des efforts, s’efforcer, s’évertuer, s’acharner, s’attacher à, faire son mieux) si la personne s’acharne contre son ennemi et fait son mieux dans la lutte selon sa capacité, sa compétence et sa force.», et se termine par : «si une personne meurt dans une terre où il n’y a ni dirigeant ni gardien, les musulmans présents ont alors le droit d’avoir son héritage et vendre ce qu’ils veulent. Si l’autorisation n’est pas possible, il doit retourner. On dit aussi qu’il y en deux choses. Et Allah, exalté soit-il, seul qui sait tout». Cette copie comprend la deuxième partie du livre, et sur laquelle, un sceau de dotation au nom du cheikh Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm. De plus, ce manuscrit a été transcrit en utilisant l’encre noire pour l’explication, alors que le texte (Mātn) a été fait à travers l’encre rouge.

Titre du manuscrit:

Ālmūbdī‘ Shārḥ Ālmūqn‘ (Le créateur : explication du persuasif) (4ème copie) (partie 2)

Autre titre (Sous-titre) :

-

Nom de l’auteur, Date de décès:

Début du manuscrit:

le livre du Djīhād (la lutte spirituelle ou religieuse). Le mot Djīhād ou Mūdjāhādā (lutte) est l’infinitif du verbe arabe Djāhd (lutter ou combattre). Le mot Mūdjāhīd (militant, combattant, lutteur, battant) est le participe présent du verbe arabe Ājhād (déployer ou faire des efforts, s’efforcer, s’évertuer, s’acharner, s’attacher à, faire son mieux) si la personne s’acharne contre son ennemi et fait son mieux dans la lutte selon sa capacité, sa compétence et sa force.

Fin du manuscrit:

si une personne meurt dans une terre où il n’y a ni dirigeant ni gardien, les musulmans présents ont alors le droit d’avoir son héritage et vendre ce qu’ils veulent. Si l’autorisation n’est pas possible, il doit retourner. On dit aussi qu’il y en deux choses. Et Allah, exalté soit-il, seul qui sait tout.

Nom du copiste:

-

Date du copiage:

Renvoie au 14ème siècle de l’Hégire.

Lieu du copiage:

-

Style de calligraphie:

Style calligraphique cursif, (Naskh)

Nombre des feuilles: Nombre des lignes: Taille: X cm

Nombre des feuilles: 194; Nombre des lignes: 34; Taille: 28 x 19.5 cm.

Langue

Numéro de réservation :

344 / avis jurisprudentiel (Fatwa)

N.B. :

Cette copie comprend la deuxième partie du livre, et sur laquelle, un sceau de dotation au nom du cheikh Mūḥāmād Ibn Ībrāhīm. De plus, ce manuscrit a été transcrit en utilisant l’encre noire pour l’explication, alors que le texte (Mātn) a été fait à travers l’encre rouge.